[RECIT] Peine de mort...

Gris... Blanc... Orange...

L'homme observe attentivement les murs de la pièce où il se trouve.
Les murs sont gris, le sol et blanc, et sa combinaison est orange.

Aujourd'hui on lui a servi son repas préféré. Il est venu de derrière les barreaux, gris, eux aussi.
Il a mangé comme jamais et comme jamais plus il ne mangera.
Il a refusé de se confesser devant le prêtre.
Il n'est pas croyant, il a précisé doucement.

Maintenant qu'il sait que l'heure approche, ses pensées tourbillonent.
L'évènement remonte à maintenant 20 ans. Il roulait sur une route en forêt, avec sa femme et sa fille.
Sa vie était heureuse, avant....

Puis ils s'étaient arrêtés sur une station service.

Ils auraient mieux fait de tomber en panne...

Pendant qu'il allait payer, des cris avaient retentis. il s'était précipite dhors et avait vu sa fille se débattre contre une forme noire tandis que sa femme gisait sur le ventre par terre.

Il s'était approché et l'avait retournée, elle baignait dans une mare de sang...



Une plaie laissait couler le si précieux liquide, une plaie dûe à une balle.
Avec désespoir, il avait relevé la tête et aperçut une ombre qui traînait sa fille dans les bois. Il avait voulu la suivre, pour la sauver, pour ne pas qu'elle meure, pour la serrer contre lui et la rassurer.

Mais une violente douleur fit s'abbattre un gigantesque tourbillon noir devant ses yeux.

Lorsqu'il s'était réveillé, dans un lit d'hôpital, il était mennoté.

On policier lui avait appris que sa fille et sa femme avait été retrouvées mortes et que sur le pistolet qui avait servi pour le crime, ses empreintes digitales le désignaient clairement comme le tueur.

Il savait que ce n'était pas vrai, il avait plaidé non-coupable, mais rien n'y a fait, les meurtriers avaient si bien falsifiés les preuves qu'ils avaient été désigné coupable.

Le verdict avait été rendus peu de temps après.

Il serait vicitme de la peine de mort ...

(suite)

On l'avait fait sortir de sa cellule, les mains et les pieds enchaînés.

On l'avait orienté vers un couloir dont personne ne revenait jamais; le couloir de la mort.

Les prisonniers qu'il croisait lui souhaitiait bonne chance et tendaient la main à travers les barreaux pour essayer de la soutenir.

Il se sentait étrangement calme pour un condamné à mort, bizarre pensait-il.

Enfin, on le pousse derrière une porte.

Il est dans une nouvelle salle, où trône, au centre, une chaise allongée, relièe à des tuyaux de diverses couleurs.

Sur les côtés de la pièce, une grande vitre teintée, où il sait que sont assis des civils, venus le regarder mourir.

On le pousse vers la chaise où il s'assoit. Face à lui une horloge qui fait le décompte des minutes qui lui reste à vivre.

Compte à rebours meurtrier...

Il s'allonge, pendant qu'un médecin, les yeux emplis de pitié, insère dans ses veines les tuyaux qui le feront quitter ce monde. Mais il ne veut pas de sa pitié, si son heure est arrivé, il en est ainsi. D'ailleurs, il en viendrait à regretter de ne pas mourir, car les images des meurtres tournaient sans cesse dans sa tête, le rendant fous de desespoir.

Il se détends et regarde l'heure.

Plus qu'une minute...

L'horloge sonne, un son froid et posé, un son haïssable.

Un moment de panique l'envahit, la peur de la mort se fait plus forte que la desespoir qui l'habite, il se débats, mais est sanglé sur la chaise, il veut mourrir, mais de sabelle mort, pas maintenant, pas comme ça !

Mais bientôt, il se recouche, et regarde avec des yeux vide le produit qui coule dans l'un des tubes transparents. Il sait que c'est celui qui calme.

Bientôt, un deuxième poduit, bleu elui-ci coule dans une des perfusions, son corps commence à brûler et sa langue est empâté.

Il regarde le garde et demande avec une voix douce.

"Quel temps fait-il dehors en ce moment ?"

Le garde paraît surpris, puis avec une voix compatissante, il dit :

"Il fait beau et le soleil brille..."

Il remercie le garde d'un hochement de tête et d'un pauvre sourire.

Une envie de dormir d'une puissance imcomparable le prends, et comprenant que le troisième produit fait son effet, il se laisse aller, le quatrième produit sera bientôt en lui.

Puis avec stupeur, il contemple son corps.

L'homme s'envole vers le ciel bleu et disparaît.

Dans la salle un long biiiippppp retentit. Le médecin se rélève et déclare d'une voix triste :

"C'est fini..."

Alors qu'il s'approche du corps de l'ancien prisonnier, il voit quelque chose briller sur sa joue.

Une larme...

Une larme qui coule jusqu'à terre où elle éclate en un bruti de crisatl brisé.

En son coeur, le médecinet le garde comprenne, q'il s'agissait d'un innocent; un peu tard, ils dûrent avouer amèrement.

Alors que le médecin recouvre le corps de l'homme il lui murmure à l'oreille comme s'il pour vait encore l'entendre...

"Bon voyage au paradis mon ami... Nous ne t'oublierons pas..."




Fin...

Boar !!!C'est horrible c'est vraiment poignant ton truc ...

j'ai vu ça hier, dans un cauchemar -_-'

merci, j'ai pleurée en écrivant !

Dis donc faudrait que t'arrete de nous sapper le moral avec ta mort là...
On dirait une pseudo gothique !

C'est pas ma faute si je pense à ça en ce moment !
Et puis ils 'nont qu'à pas passer des documentaires sur la peine de mort à la télé !><

Luthie émo !!

*hum... hum....*

C'est quoi une émo ?

Yannis c'est à toi...Oh pardon il est pas inscrit. Heu c'est un pseudo gothique ^^

En gros ouai , c'est un pseudo gothique... mais.... je dirais plutot : un gothique caricaturé avec des meches hideuse... je m'arrete la.

Y a un truc qu'est pas logique, si les preuves sont telles qu'on croit que c'est l'assassin, je vois pas pourquoi tout le monde compatit.

On parle de quoi là ?

Aaaaarg...

Je ne suis pas du tout comme ça ! j'aime pas ce style, moi, ça va paraître un peu bébé, mais j'adore les couleurs vive, et puis la mort, elle frappe des gens que j'aime tous les 4 matins alors c'est sur que je pense à ça en ce moment non mais !

On compatit parce que voir un homme au bord de la mort, ça développe des facultés de compréhention incroyable, même si c'est quelqu'un qui l'avait cru coupable.
Dans l'histoire il a l'air résignée, et il préfère en finir que vivre avec ses souvenirs, et lorsqu'il de mande quel temps il fait, c'est un peu une métaphore, mais après je ne vais pas tout dire !

Emo = Fille ou mec (enfin, de toutes façons si c'est un mec il ressemble à une fille -.-) portant jeans slim, mèche et cheveux noirs coupés hideusement, écoutant de la musique "trop émoooooooo" (je ne vise personne -regarde 3 posts plus haut -) , des rockeurs parce-que-c'est-la-mode , et généralement peu sympathiques mais après ça dépends....


Enfin, après le texte je trouve que c'est un de tes meilleurs ^^ Chais pas, l'écriture est plus fluide que d'habitude et pis c'est vrai que c'est bien émouvant

Yllo, merci ! Mais je crois que ça fait mûrir,ce que j'ai pu vivre à Herblay et au centre avec Jacobin si tu vois ce que je veux dire, alors le sujet de la mort m'intrigue plus et je l'abborde avec moins de difficulté qu'avant !

J'ai enregistrer mon texte pour le mettre sur mon blog dès que j'aurais assez de temps pour subir les caprices de mon ordinateur de malheur ! ^^

C'est quoi le centre Jacobin?

xD
Evidemment tu pautr pas connaître l'histoire mais c'est trop drôle de voir le confondage =D

Mwa jraconte pas l'histoire, par contre, c'est trop triste ><

Pour Jacobin, je vais mettre le texte dans ma section (j'aime pas les possessifs -_-).