Ma section, parce que sinon je pollue avec tous mes sujets !

Ce matin je regarde par la fenêtre, et oit la pluie, qui tombe, drue, je suis déjà habillée, j'ai mon baladeur dans les mains...
Je descend en vitesse mettre mes chaussures, et manque de me rétamer proprement dans l'escalier.
Je fais la bise à mes parents, leur pique un bout de pain que je mange en moins de deux, et hop ! Me voila sur mon vélo.

Je regarde la plage il n'y a personne, et cet après-midi, je galoperais sur cette grande étendue, j'en tremble d'excitation rien que d'y penser !

Je traverse la rue, et appuie sur les pédales le plus rapidement possible, c'est vrai qu'à six heures du matin, lorsqu'il pleut et qu'on ai en vélo avec un chemin où il y a 6 côtes de 80% il faut être motivé... Mais je le suis, alord avec mon sac sur le dos, la cravache qui en dépasse, et mes gants déjà serrés à mes poignets en bottes et pantalon, j'appuie sur les pédales avec le baladeur qui m'envoie un bon petit nightwish...

Je croise un groupe de pêcheurs qui me regardent avec des yeux ronds, mais je ne prends pas attention à eux, je suis trempée, et je force l'allure, parce que dans quelques minutes je serais au centre, et pour ça, je suis prête à inir hors d'haleine, à m'écrouler, du temps que je monte, ça sera le bonheur ! ^^

Finalement j'ariive au centre et Denis (mon prof) m'attend, me désigne un box avec un clin d'oeil, et mùe demande si j'ai prévue le maillot de bain parce que avec les autres cavaliers nous allons nous baigner !
Je cours chercher mon cheval, un beau et grand cheval blanc qui me regarde avec ses superbes yeux noirs. Il a un port de tête fier, les membres fins et musclés, qui, je le devine, sont très endurants, la crinière est très longue et il a un peu le type nerveux du cheval qui veut galoper !
Je le selle, et quand tous les autres cavaliers sont arrivés et préparent leurs montures, je vais mettre l'anti-vol sur mon vélo, peu après Denis me dit de ne pas mettre de casque, mon cheval ne me fera rien !

suite !^^

Nous finissons par monter en selle... Enfin ! Je me sens bien, mon très cher " Vol d'argent" (c'est le nom du cheval) pointe les oreilles en avant et nous prenons la tête du cortège, direction... Les petits chemins de campagne. Nous marchons à bonne allure quand avec un petit signe de main, nous enchaînons dans un galop endiablé, zig-zaguant entre les arbres, les cheveux au vent. Vol d'argent prend une allure de cross et fonce. La montre que l'on m'a prêtée m'indique que nous sommes à 55 km/h. Vraiment très rapide ! ( ) Je me couche sur l'encolure de ma monture et nous accélèrons encore, laissant se creuser la distance entre le groupe et nous. C'est une sensation de liberté inédite qui m'envahit, et lorsque nous débouchons dans un champ, je m'arrête, et tous les cavaliers se mettent en ligne, car nous nous sommes compris.

"1, 2, 3... Partez !!"

Les chevaux bondissent dans un ensemble parfait et galope à fond de train, se jouant de la terre, j'ai l'impression de m'envoler ! Mes cheveux me cinglent le visage, je sens les muscles de Vol d'argent se tendre pour accélérer... Nous sommes en tête !! Je lâche les rênes et gagnant en vitesse, nous atteignons les 60km/h, c'est extraordinaire !!

Finalement, nous arrivons au lieu de pic-nic une heure plus tôt que ce qui étais prévu ! Nous lâchons les chevaux dans la prés et mangeons, la calèche arrive peu après avec nos affaires. Nous nous déshabillons pour nous retrouver en maillot de bain, cet après midi, c'est galop dans la mer... sans selle...

Nous remontons tant bien que mal sur le dos de nos chevaux et nosu entrons sur la plage déserte, il y a un grand soleil maintenant. nous laissons les chevaux marcher puis je prend la direction de la mer. Nous entrons dans l'eau et bien vite, ce que je n'avais pas prévue, nous nous retrouvons avec de l'eau jusqu'au hanches, les chevaux commencent à jouer avec l'eau et à nager. Vol d'argent lâche deux ou trois coups de culs bien sentis, qui ont failli me faire passer par dessus bord.

Nous rejoignons le bord de la plage au galop, ficghant en l'air la pe^che des pe^cheurs à pied qui nous regardent comme si nous étions des créatures surnaturelles sorties de la mer.

Tous les cavailiers en ligne nous galopons au bord de l'eau, dans des gerbes d'eau de mer...

suite...

Nous nous arrêtons un moment pour laisser souffler nos chevaux, qui en profitent pour nous éclabousser copieusement. C'est de bonne guerre après le bain forcé !^^

Puis nous reprenons la direction du centre éqestre où nous redescendons de nos merveilleux chevaux, que nous chouchoutons en leur faisant prendre une bonne douche avec un bon coup de peigne et des friandises à volonté.

Après avoir passer une journée à cheval, je me sens raide et gauche à terre.

Je dépose unbaiser sur les naseaux tout doux de Vol d'argent et je vais me chercher mon vélo. J'ai encore la route du retour à faire, avec ses fichues côtes, mais une fois rentrée, je prend une douche, et pour faire plaisir à maman, je me couche sur le canapé pour parler.

Mais je crois que je me suis endormie au milieu de la conversation. Tout ce dont je me souviens, c'est que j'ai regardé par la fenêtre et qu'il ne pleuvait plus, ça m'a arraché un sourire !^^

Les foules se déchaînent XD ^^'

Moi j'aime bien , y'a un esprit enfantin que j'aime beaucoup , aucun truc tordu , c'est clair saint , j'aime...
Ca fait vraimment vue par les yeux d'un enfant j'trouve personelement...

Merci ! ^^ héhé, c'était une journée magique,et j'étais une vraie gamine tout au long de la journée, rien que d'y repenser j'ai envie de recommencer, mais là, je reviens d'une rando dans l'aveyron, et avec les photos que j'ai prises, je vais faire carnet de bord !^^

Hâte de voir les photos ^^

faudra que je finisse la pellicule, mais ça ne devrait pas être trop dur ^^

Oldies.

c'est à dire ? o_Ô

Ben les apareils photos a pellicule ca devient un objet "oldies" , d'ailleurs j'ai rien contre les objets oldies , la preuve un de mes rêves les plus fou serait d'avoir une super 8...

Mais je pense justement ressortir un appareil photo argentique pour prendre pas mal de photos de moi et mon entourage et tapisser les murs de ma chambre... Enfin plutot le plafond...

Ca pourrait rendre bien

C'est vrai que c'est pas mal, et mon appareil, c'est comme un être vivant, XD, c'est la seule chose dont je vérifie l'état tous lesnjours (enfin presque heureusemen,t ^^)

Moi c'est le truc sur lequel je tape la que je vérifie et test si ca marche tous les jours.

-Si tu avais dix secondes pour dire quelque chose avant de disparaître, qu'est-ce que tu dirais ?

-Je vous aime ?

-Non c'est trop connu, trouve autre chose.

-Alors je dirais que si vous n'étiez pas là, je ne serais pas la même, que les gens sont trop cons de se faire berner par les publicités en tous genre, que l'esprit critique disparaît au profit de la moquerie, qu'on ne devrait pas juger les autres sur ce qu'ils ont et qu'ils sont, parce qu'on est tous différents, et qu'on a tous vécus quelque chose différent dans notre vie. Je dirais que les cris du coeur, même blessant, valent mieux que des mensonges, que réfléchir quelques instants ça fait du bien, que bouger, ça éclaire les idées, ça rassure sur soit-même et qu'on peut se voir autrement après,. Qu'avoir des amis, c'est indispensable pour vivre, que sans eux on ne serait pas grand chose, voir rien ! Qu'aimer c'est beau et que même si j'y connais rien, il faut se donner à fond dnas une relation quand elle est sincère. Il faut montrer à tous ceux qui se croient au dessus des autres qu'on peut faire mieux qu'eux !

Wouahou j'aime bien ^_^

Merci^o^

Portée par la brise naissante,
au dessus des montagnes tu volais,
étudiant avec intérêts les sentes,
tu tombais...

Dans un ruisseau, les ailes fracassées,
les yeux aveugles,
tu étais trop faible pour te défendre quand deux hommes t'ont emmenées,
terriblement seule...

La révolte sonnait dans ton coeur,
mais tu ne voyais rien,
et le noir t'aveuglait,
des fleurs de sang tes yeux pleuraient,
et de leur monde tu finissais le tien,
les gens prenaient peur à ton passage...

Lorsque l'un des hommes voulut soigner tes yeux,
tu le repoussas soudainement,
avec des gestes de feu;
tu sentais le présence qui se tenait derrière lui silencieusement...

Lorsque la violence,
succèda au silence,
tu te rebellas,
mais trop tard...

L'homme avait été emmenée,
et on agonie avait commencé...

Des langues de feu,
prenaient possession de ton corps,
et tes ailes faisaient peur aux peureux,
tu te sentais autrement plus fort...

Lorsque ta mort enflammée,
eut finalement raison de toi,
ton aveuglement guida tes pas,
et tes ailes reprirent leur liberté...

Moralité :
les gens ne croient qu'a ce qu'ils veulent bien voir, l'inconnu leur fait peur, et ils ne cherchent pas à comprendre. Certaines choses neseront jamais expliquer, et la cruauté de la raçe humaine empêchera de croire à des prodiges pourtant bien réels...



inspirée par : http://fr.youtube.com/watch?v=GdZn7k5rZLQ